Presse

La fondation a mis au défi 26 personnalités du monde de la culture suisse de choisir une œuvre d’art aborigène contemporain des collections de la Fondation Opale, en proposant une « œuvre-miroir » qui leur appartient, qu’elles auraient créée ou que la fondation pourrait emprunter.

Après cinq ans d’activités, la Fondation Opale se dote d’une nouvelle aile qui accueille un auditoire, une bibliothèque et un espace de stockage pour les œuvres.

Réalisée en collaboration avec artgenève, INTERSTELLAIRE nous invite à explorer l’inconnu et à repousser les limites de notre imagination.

Cette exposition juxtapose les œuvres de l’artiste Yves Klein avec celles de douze artistes aborigènes, ouvrant ainsi une voie sensible, poétique vers cette fraternité primordiale des consciences.

La Fondation Opale expose pour la première fois deux types d’œuvres particulières : des photographies contemporaines issues des centres urbains d’Australie, et des peintures au sol cérémonielles en wamulu.

La Fondation Opale relève le défi d’exposer le son et présente la plus grande exposition de yidaki (didgeridoo) à ce jour.

L’agence d’architecture italienne Superstudio (fondée en 1966) dénonce l’absurdité du monde moderne, la superproduction superconsommation, la propriété et le capitalisme à travers une critique de l’architecture.

Les artistes aborigènes contemporains rencontrent leurs homologues de la scène internationale. L’exposition fait dialoguer les collections des deux sœurs Bérengère et Garance Primat avec plus de 90 œuvres d’une cinquantaine d’artistes du monde entier.

L’artiste, activiste et commissaire d’exposition suisse Bernhard Lüthi (1938) transfère l’entier de ses archives à la Fondation Opale. Une sélection de ces documents a été présentée lors de la Biennale de Sydney 2020.

Exposition sur les origines de l’art aborigène contemporain.